Pourquoi l’immobilier flexible est de plus en plus plébiscité par les entreprises dans le monde d’après ?
L’année 2020 est vraiment particulière. La pandémie qui nous frappe depuis quelques mois a forcé à reconsidérer de nombreux éléments de la vie professionnelle. L’un de ceux-ci est le rapport que nous entretenons avec notre lieu de travail.
En effet, contraints d’exercer depuis chez eux, 74% des Françaises et Français* ont pu tester le télétravail. Forcément, pour les personnes à la tête d’entreprises comme pour le personnel, cela a eu des répercussions. Notre réseau de centre d’affaires BURO Club revient sur ce phénomène en quelques points.
Qu’entend-on par « immobilier flexible » ?
Pour une entreprise, louer des bureaux ou des locaux demande un investissement non négligeable, mais bien souvent impératif. Entre l’aspect financier et celui, rigide, des baux 3-6-9 conventionnels, il est difficile de trouver de la flexibilité dans de telles locations.
Les centres d’affaires, quant à eux, proposent des solutions bien plus adaptées aux entreprises, qu’elles soient en développement ou à la recherche de moyens différents d’occuper des bureaux. Cette flexibilité se retrouve par exemple dans notre rapidité de changement de plan de location, la réactivité de nos équipes et la possibilité de ne louer que quelques jours par semaine des locaux ou des salles de réunion.
Qu’en pensent les entreprises françaises ?
En France, lorsqu’on interroge les dirigeants et dirigeantes de société après la crise du covid-19, 45% considèrent désormais que le bureau représente une charge financière trop importante, à une époque où le télétravail est possible. Mais en même temps, 66% des personnes interrogées considèrent encore le bureau comme un espace nécessaire d’échange, de créativité et d’établissement d’une culture d’entreprise. Il est peut-être temps de revoir les habitudes pour ne plus se les imposer coute que coute.
Ce qui est certains c’est qu’une nouvelle manière d’aborder la location professionnelle se dessine, les solutions adaptées et adaptables, notamment celles qui permettent d’aller vers moins d’engagement, existant déjà.
*Tous les chiffres viennent de l’étude Le bureau post-confinement : quel avenir pour nos espaces de travail ?